Alix, Brindisium dans le Dernier Spartiate et Horace
Plan du voyage d'Horace à Brundisium
Horace
Horace (en latin Quintus Horatius Flaccus) est un poète latin né à Vénose dans le sud de l'Italie
(8 décembre 65 av. J.-C. Vénose, Italie - + 27 novembre8 av. J.-C. (à 56 ans)
Rome)
Dans Sermones 1.5, Horace décrit un voyage souvent désigné comme l' "iter Brundisium" parce que dans sa page "c'est la fin de la route" là-bas.
La carte que vous voyez ici est une esquisse que l'on peut faire en lisant le poème
Plan du voyage d'Horace à Brundisium
La carte que vous voyez ici est une esquisse que l'on peut faire en lisant le poème.
Dans Sermones 1.5, Horace décrit un voyage souvent désigné comme l' "iter Brundisium" parce que dans sa page "c'est la fin de la route" là-bas.
Je suis intéressé par le fait que l'on peut plus facilement appréhender l'oeuvre depuis cette carte, sauf pour le milieu du voyage, où nous sommes physiquement plus proche de la ville natale du poète.
On s'attend à ce que ça s'arrête là, car il est sur le chemin, et depuis le poème semble répondre à la Siculum iter de Lucilius.
Mais Horace ne nous montre pas Venusia, ou du moins ne nous le montre pas clairement.
Nous voyons Horace, de son arrivée à Aricia, après avoir quitté Rome, grâce à une série de destinations claires le long de la Via Appia (v 1.):
Forum Appii (v. 3)
Anxur (v. 26)
Fundi (v. 34)
Formiae (v. 37)
Sinuessa (v. 40)
Pons Campanus (v. 45)
Capua (v. 47)
Caudium (v. 51)
Beneventum (v. 51)
Ici, au milieu du voyage, nous ne pouvons plus utiliser en toute confiance notre carte. Villa Trivici est la petite ville qui ne peut être nommé dans le verset (versu dicere non est) ce qui a troublé les chercheurs.
Mais une fois que nous passons devant eux, nous sortons, pas sur la Via Appia, mais sur la Via Minucia, où les panneaux sont une fois de plus aussi clairs qu'ils l'étaient avant, en se déplaçant vers le bas de la côte adriatique:
Canusium (v. 91)
Rubi (v. 94)
Barium(v. 97)
Gnatia (v. 97)
Brundisium (v. 104)
Comment sont-ils allés de la Via Appia à la Via Minucia, et où étaient-ils rendus, arrivés à la moitié de leur voyage?
J'ai ma propre idée, mais je la réserve à un autre poste. Pour l'instant, profiter de la carte. J'espère, très utile pour lire le poème.
Mais d'où peut bien venir l'image de représentation d'Alix trouvé par Jacques Martin ?
Battle of Chaeronea in 338 BC where Alexander
tiré du blog
http://thecampvs.com/2014/06/09/iter-brundisium/
Je suis intéressé par le fait que l'on peut plus facilement appréhender l'oeuvre depuis cette carte, sauf pour le milieu du voyage, où nous sommes physiquement plus proche de la ville natale du poète.
On s'attend à ce que ça s'arrête là, car il est sur le chemin, et depuis le poème semble répondre à la Siculum iter de Lucilius.
Mais Horace ne nous montre pas Venusia, ou du moins ne nous le montre pas clairement.
Nous voyons Horace, de son arrivée à Aricia, après avoir quitté Rome, grâce à une série de destinations claires le long de la Via Appia (v 1.):
Forum Appii (v. 3)
Anxur (v. 26)
Fundi (v. 34)
Formiae (v. 37)
Sinuessa (v. 40)
Pons Campanus (v. 45)
Capua (v. 47)
Caudium (v. 51)
Beneventum (v. 51)
Ici, au milieu du voyage, nous ne pouvons plus utiliser en toute confiance notre carte. Villa Trivici est la petite ville qui ne peut être nommé dans le verset (versu dicere non est) ce qui a troublé les chercheurs.
Mais une fois que nous passons devant eux, nous sortons, pas sur la Via Appia, mais sur la Via Minucia, où les panneaux sont une fois de plus aussi clairs qu'ils l'étaient avant, en se déplaçant vers le bas de la côte adriatique:
Canusium (v. 91)
Rubi (v. 94)
Barium(v. 97)
Gnatia (v. 97)
Brundisium (v. 104)
Comment sont-ils allés de la Via Appia à la Via Minucia, et où étaient-ils rendus, arrivés à la moitié de leur voyage?
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L'oeuvre d'Horace
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L'œuvre d'Horace, et notamment les deux recueils des Odes et le premier livre des Épîtres, exerce une influence immédiate sur les poètes contemporains. À sa suite, plusieurs poètes se proclament « prêtre des Muses » ; le troisième livre des Élégies de Properce, qui paraît un ou deux ans après les trois premiers livres des Odes, témoigne, tout comme les Métamorphoses d'Ovide, de la revendication à l'immortalité du poète déjà avancée par Horace
tiré du blog http://thecampvs.com/2014/06/09/iter-brundisium/